En propulsant Alix sénateur et quinquagénaire dans une Rome où les complots politiques n’ont pas pris une ride, Mangin et Démarez offrent – paradoxalement – un coup de jeune au héros de Jacques Martin. Si la modernité transparaît tout de suite dans le graphisme qui n’hésite pas à donner dans les visages burinés ou les cadavres bide à l’air, l’histoire reste résolument classique, mais se débarrasse des récitatifs poussiéreux et autres procédés pompeux. Sans doute ce qui pouvait arriver de mieux à Alix !
Alix Senator #1
De Mangin et Démarez
Casterman | 48 p. | 12,95 € | 12 septembre