On le sait, les chatons sont des tueurs sans pitié. On l’ignore, mais les bimbos éviscèrent plus qu’il ne faut. Alors, quand les uns rencontrent les autres, cela donne une boucherie sans nom, servie par un graphisme naïf et désopilant. 100 % déconne ! Ah, ça rigole, mais on se demande bien quelle mouche a piqué l’auteur pour étendre son délire potache sur 120 pages, alors qu’une nouvelle d’une dizaine de planches aurait eu le même effet. Payer 16,50 euros la tranche de rigolade paraît du coup un brin disproportionné…
En deux mots : Boucherie féline
De Mathieu, chez Manolosanctis – 144 pages – 16,50 €