Sherlock Holmes est mort. Du moins, c’est ce qu’il semble. Watson, fidèle rapporteur des aventures de son ami, doit admettre qu’il ne dispose que de peu d’éléments pour en raconter la fin, si ce n’est une lettre d’adieu. Surtout quand celle-ci inclut un génie du mal jusqu’ici inconnu, le professeur Moriarty, et que ce dernier a un alibi en béton armé. Assisté des proches du défunt, le bon docteur devra creuser dans les recoins cachés de la vie du plus célèbre des détectives pour approcher la vérité. Une (en)quête très intrigante à la Citizen Kane où on se laisse mener par Luc Brunschwig et somptueusement illustrée par un Cecil qu’on sent à l’aise sur le sujet.
En deux mots : Rosebud élémentaire
De Luc Brunschwig & Cecil aux éditions Futuropolis – 40 pages – 11€