Quand Bilal revisite Romeo et Juliette, métaphores et allégories explosent dans un univers postapocalyptique aux ambiances puissantes. Dommage que l’intrigue, dans ce futur lugubre où la nature a repris ses droits, soit si peu passionnante. On rêve de ce que Bilal aurait pu produire en se détachant du shakespearien Romeo et Juliette, surtout après avoir longuement introduit son monde renaissant dans Animal’z.
En deux mots : Bluette postapo
De Bilal, chez Casterman – 90 pages – 18 €