Prenez une poignée de légionnaires, jetez-les dans un monde où tout reste à découvrir, flanqués d’une amazone faite prisonnière en cours de route. S’ils auront vu quantité de bizarreries, ce n’est rien à côté d’une civilisation disparue, contemporaine des dragons ! Fort d’un final désopilant, ce dernier tome est aussi le plus fantastique, lorgnant pas loin de la métaphysique.
Vivès et Merwan n’ont eu de cesse de surprendre le long de cette trilogie à la mise en couleurs exemplaire, et en matière de surprise, cet ultime opus fait fort, quitte à décevoir les plus cartésiens d’entre nous.
En deux mots : Manque d’assaisonnement
Chez Dargaud – 54 pages – 11,55 €