à‡a y est le monde est devenu fou et c’est le Joker qui est guéri. Du coup, on le laisse sortir de l’asile d’Arkham, y a pas de raison. Sauf que même s’il est déclaré médicalement sain (on n’aimerait pas avoir son médecin quand même), il n’en est pas pour autant content. Ses sous-fifres se sont partagé son empire pendant sa convalescence et il compte bien récupérer ce qui lui revient de droit ou presque. Visiblement très inspiré par la performance d’Heath Ledger, ce Joker-là n’en reste pas moins une excellente histoire noire, digne des meilleurs contes de mafieux.
En deux mots : Bouffon noir
De Brian Azzarello et Lee Bermejo, chez Panini – 128 pages – 18 €