Certes, les planches de Delaby sont à couper le souffle. Certes, la mise en scène à grand spectacle de Dufaux fait la part belle au lyrisme et à la belle épopée. Pourtant, difficile de ne pas s’ennuyer avec La Fée Sanctus, où il ne se passe finalement pas grand-chose et où l’on peine à vibrer, malgré un théâtre de personnages imposants. Une impression d’amuse-bouche étoilé, là où l’on aurait préféré un copieux plat traditionnel.
Complainte des Landes perdues #7
La Fée Sanctus
de Dufaux et Delaby
Dargaud | 56 p. | 13,99 €