En s’inspirant d’un fait divers belge sordide – un tronc humain décoré d’une inscription en hommage au manga Death Note –, Yann et Lamquet produisent un thriller contemporain mêlant aux pages de BD traditionnelles quelques planches en noir et blanc façon nippone. Sans doute parce qu’un jugement est en cours, les auteurs s’éloignent du réel et remplacent le best-seller Death Note par un inédit Lethal Pencil. Résultat, on ressort plutôt frustré de ce premier volet, peinant à vouloir faire la part entre l’authentique et le fictif.
Le Tueur aux mangas #1/2
De Yann & Lamquet
Casterman | 48 p. | 12,95 € | 26 septembre
