Selon le patron de Disney, d’anciennes personnes associées au studio Pixar ont antidaté plusieurs stock-options avant son rachat par la boîte de Mickey. Sans partir dans les détails, l’antidatage permet de réaliser de coquettes plus-values en modifiant la date réelle d’acquisition des options par une date où leur cours était très bas. Ouh les vilains.
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Magouilles chez Pixar
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