En BD, si les récits pornographiques font un retour en force, peu ont la faculté d’attirer l’œil comme Mahârâja. Exerçant sous pseudo, le dessinateur Artoupan offre dans ces pages des agapes visuelles grâce à une ligne d’une élégance rare pour croquer ses protagonistes fornicateurs. Dommage que le scénario, sorte de mélange entre un OSS 117 old school (pas la parodie donc) et un Emmanuelle se contente de survoler l’intrigue, sans aller au fond des choses.
Mahârâja
de Labrémure et Artoupan
Drugstore | 48 p. | 15,50 €