Mesrine : entre deux films, la BD

Avec le diptyque Mesrine au cinéma, le producteur Thomas Langmann a tenté un vrai pari. Une campagne promo rondement menée et la sortie de la première partie passée, le film de Jean-François Richet mettant en scène Vincent Cassel dans le rôle de l’ennemi public numéro 1 se révèle être un franc succès. Dans ses deux premières semaines d’exploitation, le long-métrage a attiré plus de 1,3 million de spectateurs.

En attendant la sortie du second volet prévu pour le 19 novembre, les éditions Casterman proposent en libraire un autre point de vue pour appréhender la vie de ce hors-la-loi passé à  la postérité. Au lieu de signer une simple adaptation du film ou du livre dont il s’est inspiré, la maison d’édition de Tintin propose à  Roger Knobelspiess, un codétenu de Mesrine, de narrer dans un récit de 46 pages l’évasion de son compagnon de quartier de haute sécurité de la prison de la Santé.

Habitué aux ambiances seventies avec sa série Ruden chez Carabas, Lounis Chabane s’est chargé de mettre en scène cet album pour un résultat intéressant, qui devrait connaître une suite, entre classicisme et nervosité. De quoi mieux appréhender les différentes facettes de ce personnage devenu légendaire.

  1. t’es un marrant PANCEV, tu laves tes yeux qui doivent être sales à  force de lire du LARGO WINCH, tu apprends à  dessiner, tu fais un album et on discute.

    moi je croyais que le plus mal dessiné, c’était « les trois heures d’attentes à  la douane sans sodomie  » d’Arélia Aurita.

    enfin les avis c’est comme le trous des fesses.
    chacun à  le sien.
    mais parfois il faut savoir quand l’écouter et quand s’assoir DESSUS.

    sinon.
    signalons que cette BD est la deuxième collaboration du duo.
    Roger Knobelspies et Lounis Chabane avaient déjà  fait une HISTOIRE ensemble chez CARABAS dont le tome 2 devait s’appeler ; MESRINE.

    alors je suis pas sur que ce soit la taule à  TINTIN qui ait proposé quoi que ce soit à  quelqu’un mais ils se sont juste frotter les doigts d’avoir le livre du film sans trop se faire chier.

    et depuis QUAND être OLD SCHOOL, c’est ringard ?
    RIC OCHET, c’est ringard, JACQUES MARTIN, c’est ringard.

    lounis est pas ringard, il est old school.

  2. Le film à  l’air chouette, la bd beaucoup moins (dessin/colo plus que old school voir ringard). Appà¢t du gain quand tu nous tiens…

  3. Un résultat intéressant ??? Putain, achetez-vous des yeux ! C’est un des albums les plus moches et les plus mal dessinés sortis cette année !!

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