Oui, Morro de la providencia est rongée par la violence, la pauvreté et les trafics en tout genre. Oui, dans ce bidonville, la criminalité est l’un des rares secteurs à embaucher sans discriminer. Pourtant, comme tant de quartiers, on y trouve une vraie vie, des liens et amitiés. Mauricio Hora, photographe, raconte son enfance, la naissance de sa vocation et la façon dont il s’est tiré de la pauvreté tout en continuant d’habiter dans la favela. Poignant et sans concession.
Photo de la Favela,
de André Diniz et Mauricio Hora,
Des ronds dans l’O | 128 p. | 17 €