Guy Delisle raconte sur son blog comment il a découvert l’édition de son Pyongyang en Chine. Pas légalement en tout cas et encore moins physiquement, puisque la seule version de son œuvre est numérique, traduite en chinois par un fan et mise en ligne gratuitement. En farfouillant les archives du web, on se rend compte que le piratage daterait de fin 2008 et aurait recueilli plus de 60 000 lecteurs !